Assez curieusement le triage va nettement plus vite aujourd’hui, je ne me pose
pas trop de questions, c’est vrai que mes neurones ne sont pas très efficaces,
ce qui dans ce cas-ci semble être assez bon…
La voiture est une fois encore
bourrée.
Un petit repas de circonstance… mais toujours pas de thé, c’est
quoi cette grimace Puce, tu as peur que cette pauvre crevette grise te
mange ?... Nous avions à peine terminé le repas, que des gouttes sont
tombées, il y avait longtemps…
Tandis que ma filleule se tape la
déchetterie…
... me voilà dans mon salon, et pas pour faire le ménage ! Ma
Puce, à la tienne, j’ai bien peur que les bols soient vides quand tu reviendras. C'est LE Yamato Kabuse Sencha griffé ThéÔdor.
Même revenue elle ne veut toujours pas de thé, je commence à m’inquiéter,
la seule chose qui l’intéresse, c’est de résoudre le problème des bols
fusionnels, elle est comme moi, tant qu’elle n’a pas trouvé, elle cherchera.
Elle change de produit et j’ai ordre de les laisser dans ce petit bassin
jusqu’à demain.
Et la voilà maintenant qu’elle se met à chanter : " parce
que la vie vaut mieux que de faire la vaisselle" en se mettant en
position pour faire du … ski
nautique ! Mais non, ce n’est pas l’effet du soleil, c’est la pub
pour ce produit, une ménagère, dont l’âge ne m’a pas été communiqué, se livre à
ce sport sur une assiette… Elle en sait des choses ma filleule, quel
éclectisme ! Encore merci pour ta prestation (et pas que dans le grenier), ô ma Puce, que ferais-je
sans toi ? A mercredi, pour changer.
Après le souper et malgré un
ciel tourmenté et menaçant, je ne résiste pas.
J’avais préparé du Cassia
en infusion froide, et ce livre de contes momentanément sauvé.
Je me
souviens qu’à l’époque, en 1993 exactement comme l’attestent l’étiquette et le
prix en francs belges, je l’avais parcouru sans plus. En parcourant la table
des matières, je constate qu’il n’y a qu’un conte chinois et un japonais. Je me base alors sur l’intitulé et je choisis
Le
chemin vers le ciel. Ce titre correspond à 2 contes, l’un est indien
guayaros et bororos. Il raconte la formation du soleil et des étoiles, assez
curieuse histoire pas du tout poétique. L’autre est roumain, il est question
d’un poirier tellement grand qu’il est impossible d’aller cueillir les fruits. Ici
aussi je n’accroche pas, la langue est lourde, peut-être est-ce dû à la
traduction ? Bref je n’accroche pas, ce livre ira bientôt en rejoindre
d’autres.
D’autant que les premières gouttes font leur apparition. Je me
rends donc à la raison et rejoins mon cocon, ce sera une soirée musique. Et thé
évidemment.
3 commentaires:
Bonjour Francine,
Je vois sur les photos que les deux bols sont encore "collés".
Mince alors!... Je propose la chose suivante :
Placer le bol du dessous dans une bassine d'eau chaude pour le dilater. Et placer des glaçons dans le bol du dessus pour le contracter.
Espérons que la physique puisse résoudre ce problème.
Bien à toi
Nicolas
Figure-toi que me souvenant de mes cours de physique, c'est exactement ce que j'ai fait en premier lieu! Mauvaise idée, le bol du dessus s'est "tassé". Je n'ai jamais aimé la physique, aujourd'hui je la déteste!
Mince alors :(
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