Je sais que là où tu es, tu es bien. De te savoir bien, je le suis aussi.
Adieu, mon amie, ma sœur. Merci pour ce que tu as été pour moi.
Tu fais partie maintenant de mes Grands Absents, ceux qui vivent en moi à jamais…
Passionnée par le thé,je souhaite partager cette passion: ce qu'est le thé pour moi, comment j'ai commencé, mes coups de coeur théophiliques, mes rencontres, mes lectures, bref mon quotidien avec le thé
Francine , je pense fort à toi
RépondreSupprimerChère Francine,
RépondreSupprimerTes mots sonnent forts,l'émotion est là sincère.Je pense ce soir à Toi,t'envoyant mes prières pour que tu sois encore la plus active,la plus vivante de nos "bloggueuses" de thés.
Mes amitiés.
à bientôt.
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RépondreSupprimerChère Francine,
RépondreSupprimerSeuls ceux qui restent souffrent, ce moment de la séparation et l'absence sont bien cruels... Nos pensées t'accompagnent en ces moments difficiles.
Nous te présentons nos sincères condoléances.
Amicalement,
Ségolène et Patrick
Toutes mes condoléances, un billet qui serre le cœur, je suis avec toi.
RépondreSupprimerDire que l'euthanasie est toujours interdite - voire taboue - en France...
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RépondreSupprimer"J'imagine combien serait vain et inutile le moindre mot de ma part pour essayer de vous distraire du chagrin causé par une aussi terrible perte", mais je vous présente tout de même, à vous que je lis depuis quelques années maintenant, mes sincères condoléances.
RépondreSupprimerNicolas
Ton billet m'arrache des larmes devant cette force que vous avez eue toutes les deux et toutes ces interrogations qui en émanent. Ces "grands absents" qui nous accompagnent, "l'amour plus fort que la mort".
RépondreSupprimerTrès chaleureuse pensée
RépondreSupprimerChère Francine,
RépondreSupprimerJe viens de lire tes billets, on pense très fort à toi .
Courrage
Francine, ta cerise préférée pense très très fort à toi.Venant de vivre la si longue & si terrible agonie de Maman, je comprends ce que tu peux ressentir.
RépondreSupprimerUne amie commune (K....) m'a cité une phrase de Cocteau, si juste : "le vrai tombeau des mots, c'est le coeur des vivants"
Ami-thés
Cerise
ce sont ces moments qui vous font vous tenir debout. Toutes mes pensées et mes prières vont vers toi et ton amie, si fortes, si humaines toutes les deux.
RépondreSupprimerAvec toi en pensées.
RépondreSupprimerHier, un petit lapsus a modifié le sens de ma phrase, je viens de m'en apercevoir. Il fallait lire :
RépondreSupprimer"Le vrai tombeau des morts, c'est le coeur des vivants"
Pense à ta venue prochaine à Strasbourg, cela te fera du bien.
Je t'embrasse affectueusement.
A tout bientôt.
Ta cerise préférée qui est avec toi par la pensée.
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