mardi 30 novembre 2010

C'est l'hiver en automne... mais je suis parée pour

Ce samedi, le givre a recouvert le jardin. J’aurais aimé un réveil moins brutal, sauf erreur de ma part, nous sommes encore en automne. Mais je fais contre mauvaise fortune bon cœur comme on dit… et ce n’est pas difficile dans ce havre douillet et toutes ses tentations. Et en attendant ma filleule, je commence son pull. Dans cette théière singe, une des premières de ma collection, un délicieux thé vert de Bolivie. Au programme aujourd’hui : aller chercher la laine commandée et faire quelques courses, parce que c’est certain, s’il commence à neiger et toutes ces joyeusetés annexes, je ne sors plus. Véro arrive plus tard que prévu, son chauffagiste a eu fort à faire, elle n’était pas la seule sur sa liste… conclusion, après les courses, elle a regagné ses pénates pour un autre rendez-vous. Après avoir cuisiné, je veux reprendre mes activités préférées quand la sonnette retentit, j’avais moi aussi un rendez-vous que j’avais oublié. Je me suis bien amusée avec mon amie Anne-Françoise, même si elle ne boit pas de thé, ni de café non plus d’ailleurs, elle ne prend que des tisanes. Tout en sirotant chacune notre breuvage, nous évoquons notre folle jeunesse, entre autres nos séjours au château de Mozet. Le temps passe, il est l’heure du souper, elle est seule chez elle ce week-end, et je lui propose de partager notre repas, heureusement tout est prêt. Mon mari, qui va mieux maintenant, a tenu le crachoir pendant tout le repas, cela s’est transformé en fous rires, très mauvais pour lui et ses côtes ! Le lendemain, c’est certain, aucune visite de prévue, je peux donc me replonger dans mon activité préférée, et mon carburant sera cette fois un Oolong d’anniversaire, infusé cette fois dans ma "théière viennoise", elle vient d'une des superbes boutiques de là-bas, beau souvenir d'un séjour que je suis prête à revivre. J’introduis le thé dans les 2 alvéoles, je la couche pour l’infusion puis je la redresse, les feuilles ne sont donc plus en contact avec "la mère du thé". Je constate que ce thé rend mieux en grande théière, les saveurs sont plus subtiles, je ne comprends pas trop pourquoi, je me contente d’apprécier ! Et le lundi, rebelotte. Musique, thé, tricot, et toujours la même passion. Il faut que je nourrisse mon mari, je laisse momentanément les choses. Mais il souhaite aussi qu’on passe la soirée ensemble, et je lui dois bien ça ! Et ce mardi, ce que je redoutais est arrivé, il fait maintenant tout blanc et je déteste cela ! Je sens vraiment en moi le changement de temps et le manque de lumière, même si je pense à ma petite-fille Elisa : en Norvège, il fait noir dès 15h30, mieux vaut pour elle que pour moi ! Cela se traduit par un manque d’énergie, je me compare à une batterie qui ne se recharge pas ; et dans ce cas-là, on la remplace… Et malgré une douce chaleur, j’ai l’impression d’avoir froid. Ah si je pouvais hiberner ! Mais j’ai autre chose à faire, mon mari m’annonce sa visite, la première depuis près d’un mois, je suis à la fois émue et impatiente. Je sors donc cette jolie théière de fête - un de ses nombreux cadeaux – et j’y infuse un Shimizu. Et j’écoute des chants grégoriens qui me donnent des émotions fortes et un grand apaisement. Mais ô surprise, c’est un père Noël très local qui me fait une visite, mon facétieux mari va décidément mieux. Après cet intermède comique, je reprends mes activités parce que je voudrais terminer ce pull ce soir, ce ne sera pas trop difficile. Et de plus, j’ai l’impression que tricoter m’aide à penser… Et voilà, pari tenu ma Puce, j’ai terminé avant la fin du mois… Il ne manque que des petites mains pour l’assembler, mais ce ne seront pas les miennes, les tiennes peut-être alors ?…

vendredi 26 novembre 2010

Vive la technique...

Depuis mardi, j’ai des problèmes de connexion Internet. Etait-ce lié aux travaux dans le coin qui ont nécessité des coupures de courant ? Ou des problèmes au niveau du serveur ? Je ne sais mais le résultat est le même : pendant de longs moments, Internet ou Outlook ne répondaient pas. J’aurais pu m’énerver, je suis assez accro, et ma patience est très limitée dans ce domaine, mais cela ne m’a pas trop perturbée, j’avais des choses à faire… Pendant que ma filleule menait la vie de château à Mozet (= message codé...), j’ai la mission de renouveler sa garde-robes d’hiver. Sauf que je ne lui ai plus vu porter de robe depuis qu’elle a 5 ans, ce qui fait un bail… En fait pas des choses mais deux choses : tricoter en buvant du thé qui s'accomode très bien avec les théières de plus grande contenance. Cela m’a permis également de revisiter mes grandes théières et de reboire des thés que je ne buvais plus trop. Et en particulier, ce thé-ci, le mélange Feu de l’Artisan de saveurs, particulièrement adapté à la saison hivernale. Mais outre que tricoter me permet de me relaxer, j’ai constaté que le thé bu en plus grande quantité me coupe l’appétit. Ou est-ce l’excuse que je me donne pour ne pas m’arrêter ? Et comme le modèle choisi est d’une facilité déconcertante (limite indigne de mes talents…) je peux laisser vagabonder mon esprit, ce qui m’a aussi fait beaucoup de bien : à la fois l’évocation émue de souvenirs, comme ceux liés à ce fameux château de Mozet où j’aurais bien accompagné Véro, si j’avais pu laisser mon mari tout seul. Il va mieux mais je préférais attendre encore une semaine, d’autant que je serai à l’Institut du Thé du 3 au 5 décembre. En buvant, je pensais à ma famille du thé : des tas de visages me passaient devant les yeux et idée plus saugrenue, je me demandais si on pouvait comparer le nombre de points tricoté dans tout ce que je fabriquais au nombre de tasses de thé bues chaque jour dans le monde… Bref, d’une pensée à l’autre, mon cerveau fonctionnait à l’unisson de mes mains et le résultat est là : le pull est terminé, mais en pièces détachées. Que vais-je bien pouvoir faire à partir de demain ? D’abord répondre à mes courriels qui se sont accumulés pendant ces jours de perturbations, après j’ai bien une petite idée, et toi Puce? …

lundi 22 novembre 2010

Ce n'est pas le jour, même pour du Pu Er

Ce matin, je me suis réveillée fiévreuse, avec en prime mal à la gorge, à la tête et le nez bouché, je n’aime pas du tout cela parce que j’ai des projets pour aujourd’hui. J’ai donc bu une grande théière de tisane de thym après avoir avalé du propolis et tout cela à des km de mon mari qui, même s’il commence à avoir moins mal, il n’est pas question qu’il se mette à tousser, le pauvre. Puis je me suis réfugiée toute la matinée dans mon salon bleu-thé pour écouter de la musique. Et cet après-midi, j’ouvre mes coffres à trésor pour choisir ce que j’ai envie de boire. Ce sera ce Pu Er cuit que je dose plus fort pour être certaine, mon nez étant bouché, que je le goûterai. J’ai l’impression que cette brique devient plus sèche et qu’elle a foncé, bizarre. J'espère que cela n'aura pas d'influence sur la saveur. Après 2 rinçages immédiats, j’infuse ce thé qui sent bon la terre humide. Et la couleur de l’infusion me rassure, ambrée et très brillante. Le goût par contre n’est pas celui que je connais, il a un arrière-goût de … thym. Après la première infusion, les feuilles ne se sont pas encore toutes développées, je l’infuse à nouveau mais même problème, la saveur est perturbée par le thym et je ne trouve pas cela très agréable malheureusement. C’est à regret que j’arrête ici mes dégustations, pour aujourd’hui bien sûr, vivement demain !

samedi 20 novembre 2010

Il est terminé, enfin...

Vendredi, je voulais terminer le manteau pour ma filleule. Et un thé pour associer 2 passions : un Yunnan d’or dans cette jolie théière. Samedi, ma Puce vient chercher son pull et j’aimerais lui montrer les pièces détachées que nous porterons porter au magasin pour les faire assembler. C’était sans compter sur un accident incompréhensible et improbable, une des 2 aiguilles s’est cassée ! Je tricote depuis plus de 20 ans, et cela n’était jamais arrivé. Mais je ne perds pas mon temps, en attendant mon amie qui va me dépanner je tricote un des 2 bandes de boutonnage. J’ai maintenant de quoi achever le travail mais un autre problème survient, je n’ai plus de laine pour continuer! Et là, pas de solution de rechange avant samedi. Ce samedi, "miss Barre-à-mine" vient prendre livraison de son pull qu’elle adore, manquerait plus que ça… Nous buvons un Shincha Yuki de Betjman et Barton pour fêter cela avant d’aller chercher de quoi continuer son manteau. Toujours aussi frais et goûteux. Me revoilà seule à présent mais pas les mains vides, je m’attaque à la deuxième bande, celle des boutonnières. Je déteste faire cela et j’ai donc besoin de quoi m’y coller, ce sera un thé vert bolivien, découvert à l’Heure bleue. Il est bio et donne une infusion à la fois douce et légèrement amère. Et, ce qui m’intéresse actuellement, il peut se préparer en grande théière sans subir une trop forte oxydation. Le manteau est maintenant terminé, demain je m’attaque aux bonnets et écharpes de mes 2 Twins. Et j’aurai le temps de déguster du Pu Er, j’en ai vraiment envie depuis que j’ai commencé à lire une mine d’or intitulée : Bulang Shan, une des plus anciennes montagnes à thé du Yunnan. A lire absolument sur http://www.puerh.fr/ , d’Olivier Schneider. Mille mercis cher Olivier, une fois encore tu m’as fait baver (enfin presque…). Et un message codé pour terminer: Puce je t'ai trouvée très fatiguée, je compte sur toi pour que tu te reposes, même si je crains que ce mot ne fasse pas vraiment partie de ton vocabulaire... je dois voir la différence lundi soir...

mardi 16 novembre 2010

Après le brouillard, le thé et le courrier

Aujourd’hui, j’ai dû affronter un brouillard à couper au couteau pour aller faire mes courses, si j’aime l’ambiance assez mystérieuse de ce type de temps, passer au travers en voiture, c’est beaucoup moins romantique. Le frigo est maintenant plein à craquer et pour ma récompense, c’est au premier étage. Mais avant de tenir ma promesse d’hier, un arrêt dans mon salon bleu-thé. Au menu, un thé que j'avais déjà testé un kiushu (), mais que me réserve ce Haicha en zhong? Les feuilles sèches sont assez bizarres et ne me font pas penser à un Oolong d’autant qu’elles ont une vague odeur de thé vert. J’ai sorti mon joli set de petits zhongs qui viennent de chez Thés de Chine, ils ont une contenance de 10 cl et sont donc plus faciles à manipuler par mes petites mains. La première infusion, à la vue et au parfum, est manifestement trop dosée et ne fait pas du tout penser aux saveurs caractéristiques d’un Oolong. Il fait plus penser à un thé vert japonais du genre Bancha trop corsé. Par contre, les feuilles sont impressionnantes et par leur forme et par leur couleur: sèches j’avais l’impression de très petits morceaux. Et elles sont très tendres. Une deuxième infusion beaucoup plus courte donne cette fois une très agréable et douce amertume, mais rien à voir avec un Oolong, je comprends mieux l’intitulé du sachet : thé VERT Oolong. Et les feuilles qui se sont encore développées, sont d’une belle couleur vert clair et toujours aussi tendres. J’ai envie maintenant de l’infuser dans un autre récipient, j’ai du mal à imaginer que ces feuilles très foncées vont à ce point changer de couleur. Une chose curieuse lors de la première infusion, une multitude de petites bulles se dégagent des feuilles, comment expliquer cela ? Et l’infusion, dorée et brillante, n’a toujours rien à voir avec les saveurs du Oolong mais elle a la fraicheur des thés verts japonais, avec une petite pointe fumée. C’est un thé à faire découvrir comme curiosité, j’aimerais en savoir plus sur ce qui se cache derrière cette phrase sibylline : "combinaison unique en son genre des techniques de production japonaises et chinoises"… Il faudra que j'aille revoir ce que j'en avais pensé à l'époque, mais pas maintenant, il faut que je quitte à regret ce lieu, j’ai une promesse à tenir ! Et je l’ai tenue, j’en suis la première étonnée ! Mais après le souper, je vais me défouler.

lundi 15 novembre 2010

Une journée ensoleillée et très productive...

Ce matin, un beau soleil a remplacé la pluie et la grisaille des derniers jours. Et ce matin, j’avais envie de lire tout en tricotant.Une belle erreur quand il faut rester concentrée. Ce sera donc thé et lecture ou thé et tricot. Alors, je fais une pause comme me l’a conseillé ma filleule, la "puste". Et ce n'est pas moi qui le dit!J’avais découvert ce délicieux thé rouge très naturellement parfumé qu'est le Ming Orchidée chez Théodor à Paris, mais cela faisait belle lurette que je n’en avais plus bu. L’intérêt de l’association thé-tricot, c’est de me servir à nouveau de mes grandes théières. Les feuilles infusées ont vraiment l’odeur particulière des Yunnan même si le liquide est plus doux et un peu plus sucré.Et quelques heures plus tard, le dos est terminé… Mais demain, je me suis jurée de répondre à mon courrier , E-mail et snailmail... j'espère que je ne serai pas (trop) parjure!

dimanche 14 novembre 2010

Thé, Tricot, thé, tricot et une visite surprise

Que dire de cette journée de cauchemar pour tous ceux dont la maison est inondée et inhabitable. Toute la Belgique est touchée, mais que faire ? Je pourrais dire : respecter plus la nature, mais il est bien trop tard pour cela. Va-t-on retenir la leçon ? J’en doute un peu. Heureusement, nous sommes sur les hauteurs et on ne risque rien. Alors, bien au chaud, je tricote et je bois et ce sera mon programme de la journée, mon mari va regarder le GP de formule 1 de ne je ne sais plus où tellement ça m’intéresse. Au menu, un délicieux Dao Ren Mao Feng de Terre de Chine, c’est la première fois que je le prépare en grande théière et j’y retrouve la même fraîcheur qu’en zhong, mais en plus dilué, très agréable aussi. Et cet après-midi, une visite surprise, l’occasion de partager ce thé délicieux thé vert. C’est pas comme cela que je vais avancer, rends-moi cela ! La peste s’exécute mais me donne des idées pour recycler les barres à mines. Petite impertinente, va. Dis Puce, je croyais que ton totem était Lionceau… De mieux en mieux ! Comment voulez-vous que je tricote avec cette folle. Dire que ce lieu est d'habitude si paisible... Ceci dit, je me suis bien amusée, merci ma Puce.Il est temps que tu partes, j’ai autre chose à faire, si tu vois ce que je veux dire !Enfin seule… Et on voit le résultat ! Décidément, je suis addict.

vendredi 12 novembre 2010

Une journée très improbable dont je ferais bien mon ordinaire...

La nuit a été très mouvementée : fortes pluies et vent violent, cela craquait de partout et nous n’avons pratiquement pas fermé l’œil. Mais ce matin, soleil et température incroyablement douce. Pas de gros dégâts au jardin, seules les branches mortes sont tombées, ouf. Je suis un peu "vaseuse" voire grincheuse, pas envie de grand-chose d’autant que j’aurais dû être à Strasbourg... La consultation de mes courriels va effacer cet état ! Sylviane m’annonce entre autres une superbe nouvelle: "Le weekend à Londres aura lieu les 13/14/15 mai 2011; nous avons tenu compte de ton voyage à Taïwan, des vacances scolaires etc... (…) Si tu as des adresses à Londres, hôtels, musées, lieux de thé intéressants pour nous etc.... tu peux te manifester sans problème". Et je ne me le fais pas dire deux fois ! Mais d’abord, je me mets dans l’ambiance londonienne… Et un peu de tristesse aussi, j'avais acheté ceci au Musée du thé, c'était ma première rencontre avec son fondateur, une superbe rencontre dont je me souviens encore avec beaucoup d'émotion. Théière Wedgwood et sa tasse assortie, et un Temi. J’ai découvert ce thé en lisant le livre de Jane Pettigrew(Encore une superbe rencontre!). Je n’en avais évidemment jamais entendu parler et c’est chez Harrod’s que je l’ai découvert.Il y a bien sûr les guides généralistes, et une double page consacrée à cette boisson nationale, le titre me fait rire. "L'art de lever le petit doigt" : vive les clichés du genre "vieilles dames anglaises buvant le thé", mais passons. Ce qui m’intéresse vraiment, ce sont ceux-ci, tous deux écrits par Jane. Grâce au premier, j’ai découvert 2 salons dont Higgins : l’accueil y était chaleureux et j’ai été heureusement surprise par l’Assam, un thé que je connais très mal et que je n’apprécie guère, est-ce l’ambiance du lieu, sans doute. Et comme chaque fois, j’ai fait dédicacer mon précieux guide. Quand j’ai rencontré Jane à Paris, elle me l’a également dédicacé et elle m’a surtout noté d’autres adresses, son "Tea lover’s guide" n’était pas encore sorti. Je vais enfin pouvoir m'en servir!C’est assez excitée que je feuillette cette Bible, entre autres "Watch your Language : English as spoken in London" et surtout "To tea or not to tea". Et puis, je reste en arrêt devant le Cutty Sark Clipper Ship, il est à nouveau visitable, ce sera pour moi un incontournable. J’arrête ici sur cette bonne nouvelle, je reprendrai cette mine d’or plus tard, notre visite est dans 6 mois, pas 6 jours...Ma théière est vide, plus besoin maintenant de ce tea cosy (anglais évidemment). Je reprends maintenant mon activité initialement prévue, mais je veux rester dans l’ambiance, je prépare un Ron Cha de chez Thés de Chine et la théière est toute trouvée, je l’ai achetée à la Tea House de Londres: 15 Neal Street, Covent Garden). Et bien sûr, c’est avec beaucoup d’émotions que je feuillette une fois encore Novelty Teapots, écrit par feu Edward Bramah, qui m’avait tellement marquée lors de nos rencontres. Je ne sais si j’irai revisiter son Musée, j’y suis allée à chacun de mes séjours mais sans lui… Et que sont devenues les théières, elles faisaient partie de sa collection personnelle. Tout en sirotant ce Ron Cha, j’ai une pensée pour Bernadette que je n’ai pas eu la joie de revoir à Nantes, c’est une de ses thés préférés. J’espère qu’elle sera des nôtres en mai ! Pour me calmer je commence par réaliser l’encolure, pas besoin de trop de concentration ; par contre pour le dos… Puce, j’arrête pour ce soir, je suis un peu sonnée (qui a dit qu'en vieillissant, on a besoin de moins de sommeil?) Et donc, si jamais tu n’aimes pas ou que tu changes d’avis à la vue de ceci, dis-le-moi avant demain (MDR). En résumé, une superbe journée qui m’a fait voyager, rêver, et me souvenirs de merveilleux moments.