Voici maintenant deux autres théières, presque sans histoire. J’ai acheté la première tout au début de ma collectionnite, à l’époque où je buvais presque uniquement des thés parfumés. Je venais de découvrir que le mieux était d’avoir une théière par sorte de thé… et je venais de me choisir un mélange nommé Samouraï. J’ai aussi craqué pour la tasse assortie, tellement fine, presque diaphane au fond de laquelle on aperçoit un portrait de geisha. Cette théière sert aujourd’hui à infuser du Sakura pour mes hôtes qui aiment ce thé aux fleurs de cerisier.
La deuxième théière est un beau cadeau qui me rappellera toujours Sara Y, une de mes étudiantes belgo-japonaise. J’étais son promoteur de mémoire, un travail brillant sur la comparaison des 2 systèmes éducatifs illustré par un stage dans l’école japonaise de Bruxelles. Ce fut l’occasion d’échanges très riches sur la culture et l’éducation dans nos 2 pays. Nous avons aussi parlé thé. Cette petite théière est pour une personne, le bol se range à l’intérieur, je m’en sers quand je me prépare du matcha qui ressort très bien sur le noir, mais malheureusement, vous devrez me croire sur parole, je n’en ai plus pour le moment.
Cette photo vous donne déjà sans doute une idée du contenu du prochain billet.
Purple Da Yi 2003 vs loose Gushu from early 2000s
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This is yet another comparison featuring the purple Da Yi. It's a useful
tea, since it's quite a standard and most drinkers have tried it. This
time, I'm...
Il y a 2 jours
2 commentaires:
great photos!
La finesse de la première théière est tellement délicate qu'il est certainement conseillé de boire le thé en kimono et de laisser ses socques à l'entrée.
Faire vivre tes théières de cette manière est assez magique.
Quant à l'étendue de ta culture théique, elle me réjouit l'âme.
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