Voici maintenant deux autres théières, presque sans histoire. J’ai acheté la première tout au début de ma collectionnite, à l’époque où je buvais presque uniquement des thés parfumés. Je venais de découvrir que le mieux était d’avoir une théière par sorte de thé… et je venais de me choisir un mélange nommé Samouraï. J’ai aussi craqué pour la tasse assortie, tellement fine, presque diaphane au fond de laquelle on aperçoit un portrait de geisha. Cette théière sert aujourd’hui à infuser du Sakura pour mes hôtes qui aiment ce thé aux fleurs de cerisier.
La deuxième théière est un beau cadeau qui me rappellera toujours Sara Y, une de mes étudiantes belgo-japonaise. J’étais son promoteur de mémoire, un travail brillant sur la comparaison des 2 systèmes éducatifs illustré par un stage dans l’école japonaise de Bruxelles. Ce fut l’occasion d’échanges très riches sur la culture et l’éducation dans nos 2 pays. Nous avons aussi parlé thé. Cette petite théière est pour une personne, le bol se range à l’intérieur, je m’en sers quand je me prépare du matcha qui ressort très bien sur le noir, mais malheureusement, vous devrez me croire sur parole, je n’en ai plus pour le moment.
Cette photo vous donne déjà sans doute une idée du contenu du prochain billet.
Faire connaissance
-
Lorsque l’on observe la feuille sèche, on apprend quelque chose du thé : sa
teneur en bourgeons, la taille et la couleur de la feuille, son degré
d’oxydati...
Il y a 1 semaine
2 commentaires:
great photos!
La finesse de la première théière est tellement délicate qu'il est certainement conseillé de boire le thé en kimono et de laisser ses socques à l'entrée.
Faire vivre tes théières de cette manière est assez magique.
Quant à l'étendue de ta culture théique, elle me réjouit l'âme.
Enregistrer un commentaire