La
première fois, et comme chaque fois que je découvre un nouveau thé, je suis à
la lettre les indications fournies. Comme cela ne m’avait pas donné ce que j’attendais,
je change un des paramètres, ce sera 70° pour l’eau et j’ajoute une petite
cuillère de feuilles.
L’infusion, toujours aussi pâle, a une saveur légèrement
plus prononcée, mais n’a toujours pas celle à laquelle je m’attendais.
Je l’infuse
à nouveau en augmentant la température (80°) et en diminuant très fort le temps
d’infusion : 30 secondes. Et pour le laisser refroidir un peu, je parcours
à nouveau ces Chants de thé.
"L’homme est au cœur du
thé, le thé rallume les couleurs dans le cœur de l’homme". Décidément, ce recueil me fait vibrer. Le thé par
contre ne rallume rien du tout, c’est vrai qu’il a plus de goût, mais son
parfum est celui des piscines d’antan, celui du chlore, il me fait penser aussi
à du bain douche...
Je laisse un moment ce breuvage disons... atypique pour admirer
ce ciel qui a viré du gris uniforme au bleu et blanc qui donne envie de sourire…
Qui a dit que le bleu était une couleur froide ?
Place maintenant à ce
fabuleux Ali Shan d’automne dont il ne me reste qu’un fond de boîte.
Je les laisse
un moment pour aller m’aérer et au passage assister au déclin d’un astre qui a
peu brillé aujourd’hui.
Les infusions se suivent, la liqueur devient plus boisée à présent. "Mon parcours est ravivé de sens
baigné de plénitude et d’allégresse".
4 commentaires:
Un grand MERCI pour toutes ces informations
Beau billet Francine, j'espère que vous allez bien.
je gouterais bien ALI SHAN biz
@ Yakimono: merci à toi d'être passée
@ Maria: si ce n'est que je suis frigorifiée, cela va bien en partie grâce aux rayons de soleil que tu m'envoies, continue! Merci, bonne fin de journée, biz
@ Fabienne: ce sera pour bientôt, si je compte bien... Bonne soirée, biz
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