Ce matin, en entrant dans la salle à manger, les volets étaient encore baissés et à l’air de mon mari j’ai compris que c’était fait exprès.
Seules les flammes du feu me laissent entrevoir la première surprise.
Volets levés, je découvre le grand saint en spéculoos de chez
Dandoy, le seul que j’aime.
Quant à saint Aubin, je vois à son regard sombre qu’il est un peu jaloux…
La deuxième surprise, je la trouve au jardin, la neige a fondu et je ris toute seule en voyant le spectacle ; je connaissais déjà ce slogan "sous les pavés la plage", mais dans la même série, "sous la neige, la taupe"…
Mais aujourd’hui, je me sens mieux, j’ai l’impression que je pourrai rester assise un certaine temps, et j’ai donc un grand projet : m’attaquer pour la énième fois à essayer de "mettre un lien vers un autre billet" ! Vanessa a eu la gentillesse de m’expliquer en images comment faire mais jusqu’à présent, mes tentatives avaient lamentablement échoué.
Alors, pour me donner du courage, je choisis d’infuser un Jukro, ce sublime thé coréen dont j’ai déjà parlé
là. A peine ai-je versé l’eau que l’arôme particulier de ce grand imprègne mes narines frémissantes.
J’admire aussi la couleur acajou, brillante et lumineuse. Pendant que je le savoure, je pense avec émotion à ceux qui me l’ont fait découvrir (voir
là)
Après deux infusions qui m’ont procuré des émotions gustatives intenses, c’est pleine d’optimisme que je me mets devant mon PC. Et voilà, cette fois j’ai réussi ! Merci chère Vanessa… J’ai bu ce thé +++ en pensant à toi aussi.
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