Aujourd’hui, premier dimanche du mois, je me rends à l’Heure bleue où j’ai donné rendez-vous à mon amie taïwanaise. Ce sera notre première étape. Une fois les présentations faites, Olivier, Monsieur Thé, nous propose un
Matcha préparé dans les règles. Ling-Ling accepte avec enthousiasme, moi je suis un peu plus réservée, j’aime beaucoup le Matcha en cuisine, tant salée que sucrée et même en mousse de jade avec du lait de soja, mais fouetté… Nous admirons toutes les deux Olivier qui a vraiment le tour de main pour fouetter ce breuvage particulier.
Ling-Ling apprécie le résultat, moi pas vraiment. Le maître des lieux le trouve trop liquide et recommence avec moins d’eau, le résultat est effectivement meilleur mais cela ne m’a pas fait changer d’avis. Nous en restons là et, après avoir savouré un
Genmaïcha glacé au citron vert (très frais), nous quittons nos hôtes pour aller manger chez Tea for Two.
J’avais emporté mes albums photos de Taiwan pour lui faire traduire certaines inscriptions. Tout à coup, je vois mon amie éclater de rire en regardant une des photos, je suis assez surprise parce qu’il s’agit d’un des immeubles anciens de la rue
Di Hua, une rue étroite, très commerçante, surtout des épices et de la pharmacopée sans oublier les friandises et du thé bien sûr, très bien achalandée aussi. Je ne comprenais donc pas la raison de son hilarité face à une photo si banale!
Ce bâtiment, je l’ai pris tout à fait au hasard, j'aurais tout aussi bien pu "croquer" celui d'à côté, ils se ressemblet tous dans cette partie de rue, et rien ne pouvait me laisser deviner que je photographiais un établissement qui servit dans le temps à tout autre chose qu’aujourd’hui !
En effet, l’inscription en rouge tout au-dessus de la façade, indique que nous sommes au "Pavillon des fleurs d’abricot", expression très poétique pour parler de l’équivalent de nos maisons closes ou tout du moins d'une maison de rendez-vous. Je vous laisse deviner le fou rire qui s’ensuivit ! Cela me rappelle une anecdote lue dans un de mes livres sur le thé qui disait plus ou moins ceci : ne demandez pas ici un
thé aux fleurs si vous ne voulez pas qu’on vous propose... une jeune femme peu farouche. Si je retombe sur l’extrait, je vous en ferai un récit plus fidèle. Bref, tout au long de cette journée particulière, encore de ces moments chaleureux où le thé, une fois encore, était très présent.
Aujourd’hui, premier dimanche du mois, je me rends à l’Heure bleue où j’ai donné rendez-vous à mon amie taïwanaise. Ce sera notre première étape. Une fois les présentations faites, Olivier, Monsieur Thé, nous propose un Matcha préparé dans les règles. Ling-Ling accepte avec enthousiasme, moi je suis un peu plus réservée, j’aime beaucoup le Matcha en cuisine, tant salée que sucrée et même en mousse de jade avec du lait de soja, mais fouetté… Nous admirons toutes les deux Olivier qui a vraiment le tour de main pour fouetter ce breuvage particulier. 
Ling-Ling apprécie le résultat, moi pas vraiment. Le maître des lieux le trouve trop liquide et recommence avec moins d’eau, le résultat est effectivement meilleur mais cela ne m’a pas fait changer d’avis. Nous en restons là et, après avoir savouré un Genmaïcha glacé au citron vert (très frais), nous quittons nos hôtes pour aller manger chez Tea for Two. 
J’avais emporté mes albums photos de Taiwan pour lui faire traduire certaines inscriptions. Tout à coup, je vois mon amie éclater de rire en regardant une des photos, je suis assez surprise parce qu’il s’agit d’un des immeubles anciens de la rue Di Hua, une rue étroite, très commerçante, surtout des épices et de la pharmacopée sans oublier les friandises et du thé bien sûr, très bien achalandée aussi. Je ne comprenais donc pas la raison de son hilarité face à une photo si banale!
Ce bâtiment, je l’ai pris tout à fait au hasard, j'aurais tout aussi bien pu "croquer" celui d'à côté, ils se ressemblet tous dans cette partie de rue, et rien ne pouvait me laisser deviner que je photographiais un établissement qui servit dans le temps à tout autre chose qu’aujourd’hui ! 
En effet, l’inscription en rouge tout au-dessus de la façade, indique que nous sommes au "Pavillon des fleurs d’abricot", expression très poétique pour parler de l’équivalent de nos maisons closes ou tout du moins d'une maison de rendez-vous. Je vous laisse deviner le fou rire qui s’ensuivit ! Cela me rappelle une anecdote lue dans un de mes livres sur le thé qui disait plus ou moins ceci : ne demandez pas ici un thé aux fleurs si vous ne voulez pas qu’on vous propose... une jeune femme peu farouche. Si je retombe sur l’extrait, je vous en ferai un récit plus fidèle. Bref, tout au long de cette journée particulière, encore de ces moments chaleureux où le thé, une fois encore, était très présent.
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4 commentaires:
Un thé aux fleurs...belle expression.
Et dire que le matcha fut ma seule découverte du salon du thé à Paris que j'avais visité grâce à mon ami. Je ne savais pas quoi chercher, où regarder. Lui était persuadé que je trouverais mon bonheur: il avait 3 ans d'avance!
je découvre ton blog avec plasir... pour une passion partagée.
c'est pas si courant et c'est très chouette.
Je ne connais le matcha que de nom et de réputation, je n'ai jamais osé le goûter, de peur de ne pas apprécier, mais surtout, de ne pas savoir le préparer correctement !!!
Quant au Genmaicha, j'adore!
Ca me donne l'impression de boire du pop-corn :p
Eh bien grâce à votre message, je découvre votre blog et je sens que je vais y apprendre et découvrir plein de choses sur ce breuvage que j'aime. Oui, j'ai bu le Xueng au Tea for two (dont j'apprécie beaucoup l'ambiance et... la pâtisserie). Bonne soirée.
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