Aujourd’hui commence la
dernière semaine de l’année, je n’en
suis pas fâchée, et pour cause :
veille de Noël, non ce n’est pas
un entrepôt Ikea…
Deux jours plus tard, on y voit un peu plus clair mais
c’est certain, la cuisine ne sera pas terminée cette année
même si ces deux
courageux sont venus travailler dimanche… Ce matin, horaire décalé, j’ai lu
jusqu’à 6 heures ce matin et mon mari m’a laissé dormir malgré la présence de
notre fée du logis, il faut dire qu’il y a de quoi faire en bas.
Il est 10h30 quand je quitte les bras
de Morphée pour découvrir ce beau ciel bleu tout doux.
Je m’adonne
évidemment à mes rituels : ce matin, ce sera un Sencha Chiran griffé Lupicia,
et à la belle lumière du
ciel, répond celle de Noël.
Moment de paix et de méditation en dégustant ce
nectar
avant de préparer la table pour accueillir ma chère Magdalena.
Dans le mug, un 25 December white griffé ThéÔdor que l’amatrice de thé apprécie, elle peut
même mettre un nom sur la plupart des différentes saveurs, eh oui.
Nous
papotons un peu, du temps notamment… il neige dans son pays d’origine et elle
espère qu’elle arrivera très vite ici…, j’en profite pour la remercier pour son
travail, l’état des lieux en ce moment en découragerait plus d’une !
Elle a tellement aimé ces Feuilles que je lui offre la boîte, elle n’a d’abord
pas voulu accepter parce que je lui ai déjà donné quelques autres thés pour
Noël, mais quand je lui ai montré les autres boîtes de 25 December White, elle a
finalement accepté, c’est bien la moindre des
choses que je puisse faire, bientôt, il faudra ranger les armoires, ça, ce n’est
pas très fastidieux, mais avant il faudra tout laver, et ça, c’est tout autre
chose !
Un petit regard amusé sur ces petits sachets jaunes, je les
aime ceux-là…
Après un frugal dîner, je devrais aller faire des courses, c’est
en principe mon devoir de femme au foyer
Mais aujourd’hui entre devoir et
plaisir, mon cœur ne balance pas !
Le Dong Ding d’automne, cadeau de
ma chère belle-fille, sera mon thé de lecture. C’est avec impatience que je me
replonge dans cette Chine du 13e siècle, c’est violent, cruel et
certains passages, ceux qui décrivent les odeurs dans les quartiers miséreux m’ont
fait penser au Parfum de Susskind, je le relirai c’est sûr.
A la demande
de mon mari, je descends voir ce qui se passe dans la pièce du dessous de mon
cocon, je pourrai bientôt inaugurer cet engin. Mais je veux encore garder ma "vieille"
cuisinière, je dois m’imprégner du mode d’emploi de la nouvelle .
C’est
avec un peu d’appréhension que je m’apprête à le lire, le four vapeur est en
effet incorporé au four traditionnel, je croyais que c’était deux pièces
séparées. Et je ne suis pas très familiarisée avec ce genre de littérature.
Et là, j’ai failli péter un câble en lisant les mises en
garde : NE PAS UTILISER DES MOULES EN SILICONE, or je les utilise tout le
temps et je viens d’en racheter quelques nouveaux… Cela veut donc dire que je
dois acheter un petit four d’appoint parce qu’il n’est évidemment pas question
de ne pas les employer ! J’étais
hors de moi mais heureusement un coup de fil m’a un peu calmée, demain sera un
autre jour… J’ai hâte d’y être, en attendant je vais continuer à découvrir la
vie de Ci Song, le lecteur de cadavres dont les débuts dans la vie sont
terrifiants, j’espère qu’il ne terminera
pas comme Jean-Baptiste Grenouille, j’en saurai bientôt plus…
Faire connaissance
-
Lorsque l’on observe la feuille sèche, on apprend quelque chose du thé : sa
teneur en bourgeons, la taille et la couleur de la feuille, son degré
d’oxydati...
Il y a 1 semaine
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