Ce
vendredi, c'est le retour de l'été, enfin. Et des boissons de
circonstance,
ici On va se revoir griffé ThéÔdor.
Mais surtout, retour sur ma terrasse ! Tandis que je savoure cette boisson rafraîchissante, je me livre à ma deuxième passion, la lecture, et celui-ci est consacré à ma drogue. Déjà le libellé de la table des matières a excité ma curiosité, "Les tribulations linguistiques d'une plante chinoise hors de Chine", ou encore "Le thé dans le grand bouillonnement lexicographique du XIXème siècle".
Je me plonge avec délectation dans ce cadeau de Martine qui me fait découvrir le thé sous l'angle des mots et des expressions,un vrai travail d'érudit. Le vent s'est levé mettant provisoirement fin à cette passionnante lecture.
Direction la cuisine et la préparation de cette blanquette de la mer à l'aide de mon i-cooking, merci chère Catherine pour ce beau cadeau gourmand dont je compte réaliser quasi tous les plats ! J'avais oublié que si ma main va beaucoup mieux, mes doigts sont encore fragiles et pas guéris, une douleur fulgurante et le bol et son contenu sont tombés l'évier, adieu donc cette délicieuse recette... pour l'instant. Mais je n'ai pas tout perdu, il me reste le riz. J'ai aussi eu droit à un sermon de mon mari du genre "tu ne guériras jamais si tu continues à ne pas tenir compte de ce qui t'a été dit, ce que tu as est grave et risque de ne pas guérir, la myéline ne se répare pas aussi vite que les boutons". Et l'argument ad hominem : "si tu veux encore faire des sorties avec le petit Dragon, ménage-toi".
Ce dimanche, après le petit-déjeuner, rien que mes passions au programme sous un ciel encore un peu couvert. Et à propos de ce petit-déjeuner, une conversation surréaliste : mon mari m'annonce qu'il voudrait déjà être ce soir alors qu'une merveilleuse journée d'été vient à peine de débuter. Si j'adore la chaleur, ce n'est pas son cas, je croyais qu'il avait mal dormi mais j'avais tout faux. Avec un air effaré devant mon "ignorance" "tu n'as rien compris", il me parle ... du match, j'hallucine, vivement que je monte dans mon havre de paix ! Une musique de méditation, et le Sencha Uraka griffé ThéÔdor que j'ai découvert il y a 10 jours dans ce lieu magique qu'est Le Fossé fleuri http://la-theiere-nomade.blogspot.be/2016/07/un-premier-juillet-flamboyant.html . Avec cette musique si zen et les saveurs typiques des thés japonais, je retrouve ce qui m'a manqué depuis un certain temps, la méditation. J'y ai passé la matinée, je me sens à présent dans un état de grand bien-être, je referai cela ce soir dans la pénombre avec la lumière d'une bougie. Avant la promenade apéritive dans ce jardin, préparation de la boisson qui convient à ce temps : Péché mignon griffé ThéÔdor. Je constate avec tristesse que le jardin a beaucoup souffert des pluies à répétition, de la grêle et du peu de lumière. Plus aucune herbe aromatique, même le thym, la sauge et la menthe n'ont pas résisté. Et je ne parle pas des fleurs... En rentrant pour préparer le dîner, je n'étais pas encore arrivée sur la terrasse que j'entends mon mari chanter à tue-tête... la Marseillaise ! Cela promet pour ce soir. Comme il parait que je ne peux m'exposer au soleil à cause de mes nerfs à fleur de peau, j'ai continué à lire dans mon cocon. Après le souper, c'est sur ma terrasse que je m'adonne à ces passe-temps que j'aime. Mais le ciel s’obscurcit à nouveau, ces nuages noirs ne me disent rien qui vaille, je vais donc regagner mon salon bleu-thé et méditer sur cette belle journée d'été pendant laquelle j'ai rechargé mes batteries, elles en avaient bien besoin...
Mais surtout, retour sur ma terrasse ! Tandis que je savoure cette boisson rafraîchissante, je me livre à ma deuxième passion, la lecture, et celui-ci est consacré à ma drogue. Déjà le libellé de la table des matières a excité ma curiosité, "Les tribulations linguistiques d'une plante chinoise hors de Chine", ou encore "Le thé dans le grand bouillonnement lexicographique du XIXème siècle".
Je me plonge avec délectation dans ce cadeau de Martine qui me fait découvrir le thé sous l'angle des mots et des expressions,un vrai travail d'érudit. Le vent s'est levé mettant provisoirement fin à cette passionnante lecture.
Direction la cuisine et la préparation de cette blanquette de la mer à l'aide de mon i-cooking, merci chère Catherine pour ce beau cadeau gourmand dont je compte réaliser quasi tous les plats ! J'avais oublié que si ma main va beaucoup mieux, mes doigts sont encore fragiles et pas guéris, une douleur fulgurante et le bol et son contenu sont tombés l'évier, adieu donc cette délicieuse recette... pour l'instant. Mais je n'ai pas tout perdu, il me reste le riz. J'ai aussi eu droit à un sermon de mon mari du genre "tu ne guériras jamais si tu continues à ne pas tenir compte de ce qui t'a été dit, ce que tu as est grave et risque de ne pas guérir, la myéline ne se répare pas aussi vite que les boutons". Et l'argument ad hominem : "si tu veux encore faire des sorties avec le petit Dragon, ménage-toi".
Ce dimanche, après le petit-déjeuner, rien que mes passions au programme sous un ciel encore un peu couvert. Et à propos de ce petit-déjeuner, une conversation surréaliste : mon mari m'annonce qu'il voudrait déjà être ce soir alors qu'une merveilleuse journée d'été vient à peine de débuter. Si j'adore la chaleur, ce n'est pas son cas, je croyais qu'il avait mal dormi mais j'avais tout faux. Avec un air effaré devant mon "ignorance" "tu n'as rien compris", il me parle ... du match, j'hallucine, vivement que je monte dans mon havre de paix ! Une musique de méditation, et le Sencha Uraka griffé ThéÔdor que j'ai découvert il y a 10 jours dans ce lieu magique qu'est Le Fossé fleuri http://la-theiere-nomade.blogspot.be/2016/07/un-premier-juillet-flamboyant.html . Avec cette musique si zen et les saveurs typiques des thés japonais, je retrouve ce qui m'a manqué depuis un certain temps, la méditation. J'y ai passé la matinée, je me sens à présent dans un état de grand bien-être, je referai cela ce soir dans la pénombre avec la lumière d'une bougie. Avant la promenade apéritive dans ce jardin, préparation de la boisson qui convient à ce temps : Péché mignon griffé ThéÔdor. Je constate avec tristesse que le jardin a beaucoup souffert des pluies à répétition, de la grêle et du peu de lumière. Plus aucune herbe aromatique, même le thym, la sauge et la menthe n'ont pas résisté. Et je ne parle pas des fleurs... En rentrant pour préparer le dîner, je n'étais pas encore arrivée sur la terrasse que j'entends mon mari chanter à tue-tête... la Marseillaise ! Cela promet pour ce soir. Comme il parait que je ne peux m'exposer au soleil à cause de mes nerfs à fleur de peau, j'ai continué à lire dans mon cocon. Après le souper, c'est sur ma terrasse que je m'adonne à ces passe-temps que j'aime. Mais le ciel s’obscurcit à nouveau, ces nuages noirs ne me disent rien qui vaille, je vais donc regagner mon salon bleu-thé et méditer sur cette belle journée d'été pendant laquelle j'ai rechargé mes batteries, elles en avaient bien besoin...
2 commentaires:
Connaissais-tu les expressions présentées en page 23? K
@ Kris: que nenni! Il faut dire que je ne pratique pas la "langue verte"! Je rédigerai un mot sur ce livre dès que j'en aurai terminé la lecture. Bonne fin de journée, bon thé chère Kris
Enregistrer un commentaire