Un fou rire un peu nerveux en voyant cette flamme, je la préfère nettement à
celle de New York qui a failli me coûter la vie. J’y suis montée évidemment et
arrivée au premier palier, je lis plus que x marches, je décide de continuer
croyant qu’il y aurait ce genre de message à chaque étage et que j’arrêterais
quand je n’en pourrai plus… sauf qu’il n’y a plus eu ce genre d’info, que les
escaliers se sont faits de plus en plus étroits, de plus en plus raides et que
j’ai cru mourir sur place ! Et pourquoi ? Pour arriver au sommet et
ne pratiquement rien voir tellement les vitres sont petites et très sales !
En traversant le pont de l’Alma, j’admire cette vieille dame encore très
digne et raide comme un piquet, droite comme I malgré son âge vénérable !
J’arrive au
Musée croyant qu’il ouvrait à 10 heures, le temps de prendre un petit-déj avec
thé en sachet, j’ai donc pris un très bon … petit café, vu la grandeur de la
tasse, mon estomac a résisté… mais non, trois fois non, je ne retournerai pas à
mes anciennes amours. Et puis, aAu programme, 2 expos, Les Maîtres du désordre d’abord
dont je ne parlerai pas ici, j’ai été littéralement éblouie, elle vaut un
billet à elle toute seule. Plus tard, quand je rentrerai. A tel point que j’ai
eu du mal à rentrer dans la deuxième, Les séductions du
palais. D’autant qu’il a fallu être
patiente pour qu’enfin on parle du thé.
Et j’ai ri toute
seule en lisant celle-ci, me demandant ce que Josiane en penserait ! (=
message à peine codé…)
Et en or, s’il vous plaît.
Et les infos se précisent. En lisant le titre, j’ai d’abord
cru qu’on parlait de thé compressé.
Il n’en est rien mais cette autre
brique est d’un incroyable réalisme, on pourrait croire que la dame est vivante
(c’est du moins l’impression que j’en ai eue).
Ici, plus de doute.
Gaiwan sur son piédestal.
Une autre théière dont on voit encore aujourd’hui
des copies, j’en ai eu une que j’ai donnée à une amie en partance pour l’Afrique
du sud.
Très jolie pièce, je n’avais encore jamais vu ce genre de gaiwan,
je le verrais bien dans mon cocon…
tout comme cette jarre,
mais pas ce
canard.
Une dernière recette, qui s'y colle?...
Et ce superbe montage
qui donne l’eau
à la bouche. C’est sur ces tentations que se termine la visite au Musée, près
de 4 heures, je commence à ne plus sentir mes jambes et à avoir faim. C’est
prévu mais…
Un petit passage à
la petite boutique de l’étage, pas
pour acheter des thés mais pour quelques "achats compulsifs" de
livres (= message codé). J’en reparlerai quand je les lirai. Quant à Terre de
Chine, c’est prévu samedi. En sortant du Musée, la langue pendante, j’aperçois
une beaucoup plus grande boutique, l’occasion est trop belle, j’y trouve encore
mon bonheur sauf qu’au moment de payer, je m’aperçois que je n’ai plus ma carte
de crédit que je venais d’employer dans l’autre boutique. J’ai beau fouiller
mes sacs, rien. Je commence à stresser, retourne au Musée et devant mon air
décontenancé, une des préposées me propose d’aller se renseigner. Quelques très
longues minutes plus tard, LA bonne nouvelle, elle a été retrouvée.
Voilà
le lieu que j’avais repéré dans mon guide des salons de thés à Paris.
J’y
arrive un peu stressée, l’accueil est chaleureux.
Quelques minutes plus tard, voilà de quoi me sustenter, le thé par contre
ne me plaît pas c’est un thé vert à la bergamote.
Le dessert par contre est
une « vraie tuerie », cette compote de pomme, poire à l’orange
agrémentée de cannelle et de vanille est vraiment goûteuse, je referai cela à
la maison.
Le temps d’immortaliser les deux Abeilles qui travaillent comme
des fourmis dans ce salon très cosy qui ne désemplit pas, il est temps pour moi
de rejoindre le Pont-Neuf où j’ai rendez-vous. Merci à vous deux et aux autres
petites fourmis souriantes, je reviendrai, on se sent bien chez vous, comme en famille ! Et ici aussi, je ressors non pas avec des achats mais avec une gentille attention que je déballerai à mon retour. La suite sera pour demain, je
tombe de sommeil et je n’ai pas envie de bâcler cet autre moment fort d’une journée
comme j’en aimerais tous les jours…
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